• suppression des « éléments ponctuels d'informations » (les pop-up, bloqués par défaut) ;
  • véritable « usurpation d'identité de navigateur » (le fait de répondre être un autre navigateur à l'interrogation du serveur) ;
  • suppression « des données informatives de partenaires » (les bannières et images de publicité) ;
  • blocage des « informations de nature photographique » (les photos des sites, supprimées) ;
  • refus « des technologies d'authentification et d'aide à la navigation » (cookies refusés) ;
  • non-respect « des caractéristiques de mise en page » (le changement des polices et des feuilles de styles).

Ainsi, conclut le texte, « on assiste avec ces outils issus d'un univers de développement non-industriel, à la remise en cause des créations techniques et artistiques du Web. Cette atteinte aux formats des sites constitue un acte grave nécessitant des actions fortes, de communication et de justice. » Une plainte contre l'éditeur du navigateur Firefox ? Cela n'est pas précisé. Mais après le format des journaux, c'est donc celui des sites Web, ouvert au sens où connu par ses caractéristiques, qui est à la base de cette action.

Mais tout ce billet est dans une catégorie qui rassure quant à la véracité de cette description, à ce jour du moins. Même si le format du texte, avec ses tournures, son vocabulaire, son style, peut sembler véridique, ce n'est donc heureusement pas le cas.

Mise à jour du samedi 19 février à 13h45 : merci de bien lire le texte ci-dessus avec sa chute, qui indique que l'information développée n'est pas véridique. Il s'agit une extrapolation, basée sur les caractéristiques de Firefox (et aussi d'autres navigateurs, y compris Internet Explorer), avec le langage rencontré dans les affaires juridiques de ce type.