Une après-midi entière à propos des formats

Lundi 26 septembre à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, a débuté un séminaire international francophone organisé par l'Agence intergouvernementale de la francophonie et son institut INTIF (Institut francophone des nouvelles technologies de l'information et de la formation).

Il se déroule dans les locaux de l'IPD-AOS (Institut Panafricain pour le Développement-Afrique de l'Ouest et Sahel) avec une trentaine de personnes du monde francophone des blibliothèques et de la documentation.

Il a pour thème Développement durable et bibliothèques : l'information numérique, enjeu de la diffusion de la connaissance et des savoirs.

Après l'ouverture officielle le matin, suivie d'une présentation générale du thème, toute l'après-midi était consacrée aux formats, ouverts ou pas, à l'interopérabilité, et à l'archivage.

J'en avais la responsabilité et je suis intervenu près de 3h30, avec comme sujet : Les formats ouverts : leurs incidences sur la production, la conservation et la diffusion des documents numériques. (La présentation se déroulait majoritairement au format explications orales, tableau et craie, format retenu volontairement, même si le début utilisait des diapositives numériques, mais sans listes à puces).

Après la présentation, la partie de questions-réponses a notamment donné l'occasion de parler du dossier Bibliothèque numérique européenne et de la place des bibliothèques (nationales, universitaires,...) francophones africaines.

Le fichier de ma présentation est disponible.

Sources et liens :
  • Cet article est donc écrit et publié depuis Ouagadougou, grâce aux standards ouverts du Web.