Texte d'aguichage : le 666 est un format et a un lien avec les formats !... à suivre...

Il y a format ouvert et format ouvert : c'est une diabolique question de définition

Mais pourquoi avoir écrit « aguichage » ? Car c'est la recommandation officielle pour le terme anglais « teasing », qui pourrait aussi être traduit par « accroche » ou « titillement » dans le format français.

Mais pourquoi avoir fait de l'aguichage ? Car pour cet article (et le prochain), c'est un autre format de publication qui est testé : annonce un peu énigmatique... puis mise en ligne.

Mais pourquoi le 666 ? Car c'est ici le 666e article de Formats-Ouverts.org... 666 : voilà un nombre à 3 chiffres un peu singulier (du moins écrit au format en base dix) ne comportant que des 6 (y compris avec (6 x 6 x 6) + 6 + (6 x 6 x 6) + 6 + (6 x 6 x 6) + 6 = 666), même s'il n'est pas le seul. La sonorité du mot aussi est un peu originale : six-cent soixante-six siffle...

Mais encore ? Il y a aussi la connotation culturelle du nombre : 666 se trouve qualifié de « nombre de la Bête » dans l'Apocalypse (chapitre 13, verset 18, soit Ap 13,18) du Nouveau Testament. Le nombre 666 serait donc un nombre marqué par les ténèbres.

Et alors ? Et bien sans parler de religion ni de Malin, parlons dans ce 666e article de ceux qui sont bien malins à propos des formats et de l'interopérabilité...

Ils écrivent « formats ouverts » ... ils disent « protocoles ouverts »... ils vantent « les standards ouverts »... ils « soutiennent l'interopérabilité »... On peut aussi trouver les expressions « standards de l'industrie »... « les standards » (seuls)... « les standards du marché »...mais ce ne sont pas forcément des standards ouverts !

En effet, la question qui doit être posée est : standard ouvert, c'est-à-dire ? (socad, au format abrégé) Quelle est votre définition ? Est-ce publié, accessible, réutilisable, modifiable et qui l'a en charge ? Y a-t-il a une licence qui précise des conditions d'utilisation ?

Il y a eu une réponse truculente : « Nous sommes interopérables avec tous les standards de notre société »... Mais si la définition est plus restrictive que celle de la loi française, alors on peut appeler cela être malin, habile, voire sournois. C'est alors une approche diaboliquement perverse.

Sources et liens :