Le document d'Ouagadougou

Le lundi 26 septembre 2005 à Ouagadougou (capitale du Burkina Faso), j'ai fait dans le cadre d'un séminaire francophone international une longue intervention : ayant toute l'après-midi, elle fut remplie et je pus être assez complet avec un auditoire attentif. La présentation s'appuyait sur mes notes manuscrites détaillées, sur la parole (mais sans le brio africain) et sur le tableau où je notais les principaux éléments, comme les personnes présentes le faisaient sur leurs feuilles.

L'intitulé exact de la conférence était : Les formats ouverts : leurs incidences sur la production, la conservation et la diffusion des documents numériques. Le séminaire était organisé par l'Agence intergouvernementale de la francophonie et un de ses instituts, l'INTIF (Institut francophone des nouvelles technologies de l'information et de la formation), coordonné par Danielle Bouhajeb (INTIF) et Jean-Paul Ducasse (Université Lumière Lyon 2).

Après « quelques délais » (assez long de ma part pour bien l'écrire et ensuite pour qu'il soit mis en ligne sur le site de la rencontre), c'est désormais chose faite : 9 mois et 3 jours après, l'accouchement a eu lieu pour tous ceux et toutes celles qui ne l'attendaient pas (ou plus) et le fichier est disponible. Il traite des standards ouverts, d'interopérabilité, d'archivage, de bibliothèques numériques.

Les formats utilisés dans ce fichier de la conférence : il s'agit d'un texte rédigé (ce n'est pas un diaporama, ni une liste de points comme ce lundi 26 juin), au format ouvert PDF. Dans les coulisses, ce sont les logiciels libres Emacs (pour la saisie) et surtout TeX-LaTeX (pour la mise en page, avec son format ouvert .tex) qui ont œuvré.

Bonne lecture du bébé !

Sources et liens :