Pour adopter le bon format, les 3 éléments sont

Voici comme annoncé en notules et aussi à 2 mois de la veille du rendez-vous d'avril. Voici une histoire de formats non-électroniques mais véridiques.

Comment bien répondre à une question ou expliquer une idée ? Comment réussir à contacter et toucher des interlocuteurs ? Les hommes politiques, les publicitaires ou les responsables de communication (et marketing) se posent ces questions de manière systématique et professionnelle, et tentent d'y répondre.

Il faut « avoir le bon format » en fonction de son interlocuteur, avec donc une mise en forme et un fond qui seront compréhensibles et qui toucheront. La technique de la segmentation est une possibilité : les interlocuteurs sont regroupés par ensembles homogènes aux caractéristiques identiques qui ont été établies.

Puis vient le moment de rassembler ce qui a été établi, avec la règle des 3 éléments :

  • les éléments de contexte : les informations qui décrivent l'environnement, la situation générale et particulière ;
  • avec les éléments de vocabulaire : les termes appropriés et pertinents ;
  • puis les éléments de réponse : les points qui seront développés dans la version complète, intégrant les 2 types d'éléments précédents.

Ainsi apparaît « la note » (de synthèse, d'alerte, d'information, de présentation, d'ambiance,...) avec son format d'écriture et ceux des 3 éléments ci-dessus. Cela représente un réel travail que d'appliquer ces formats de rédaction et de présentation pour établir ces documents (nombreux sont ceux et celles qui en produisent, encore plus en ce moment, conseillers ou pas).

Et bien sûr, ces formats particuliers d'écriture et de documents sont ouverts. On peut aussi appeler cela « exercice de style sur le modèle de... », et la liste des possibilités est longue. En essayant d'éviter le formatage, et sans voir pour autant des formats partout.

Sources et liens :
Et sur Formats-Ouverts.org :