Généricologie : de générique et de -logie (étude de). Ce terme est une création basée sur un format ouvert de construction des mots.

Cette étude des génériques est traitée dans le documentaire GENRIKART diffusé le vendredi 21 août 2009 (Canal+, 22h45). Cette partie des films (et des séries) peut consituer un film dans le film, avec un travail particulier. Et cette partie peut avoir des formats très différents. Trois petits exemples pour trois films :

  • HOME (2009) : les logos de différentes marques apparaissent à l'écran pour s'éloigner en se regroupant pour former finalement les 4 lettres du titre. Notre maison Terre serait-elle constituée par ces structures ? C'est une interprétation possible. Elles soutiennent aussi tout simplement le film en ayant participé au financement ;
  • Coraline (2009) : une aiguille est en action et créé un objet... qui se retrouve dans le film... et la signification exacte de ce début devient bien plus claire à la fin du film ;
  • Lord of war (2005) : la vie d'une balle, avec les débuts de sa fabrication à sa fin mortelle sur une jeune victime... une séquence forte qui fait écho à l'affiche et donne le ton.

Il ne faut pas oublier le générique de fin, qui peut contenir quelques images voire une séquence du film ou encore un clin d'œil dans le texte projeté qui n'est alors lu que par les derniers spectateurs attendant la vraie fin du film (c'est-à-dire l'écran noir et la lumière revenue).

Et sur Formats-Ouverts.org le 21 août :