Il ne s'agit pas ici des langues disparues déjà évoquées lors de la journée du 21 février, mais bien des langues dites anciennes dans les programmes du secondaire [2] : donc le latin et le grec ancien.

L'éditeur ASSIMIL [1], présent au Salon du livre, avait lancé en 2003 une méthode pour apprendre le Grec ancien, en s'appuyant sur sa méthode d'apprentissage d'une langue vivante : le même format était transposé, et ce fut un succès. En 2007, nouvel ouvrage, à propos du Latin. Et en 2010, c'est au tour d'une autre langue ancienne : « Égyptien hiéroglyphique ».

Ces langues permettent d'accéder aux documents des civilisations qui les ont utilisées et qui constituent un patrimoine culturel essentiel. On en connait les codes, la grammaire, la syntaxe, l'écriture, parfois après de longues recherches comme pour les hiéroglyphes.

Et dans le numérique, des langues mortes...

Pour ce qui est du patrimoine numérique constitué par les langues des logiciels comme Publisher, ClarisWorks ou autres AmiPro, il n'existe pas de méthode ni de livre pour parler et comprendre ces langues numériques : elles ne sont pas ouvertes et ont disparu. Et avec elles les informations qui avaient été créées...

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Sources et liens :
Le 28 mars sur Formats-Ouverts.org :