Langue vivante : allemand, globish, autres ?

Les langues vivantes ont aussi des formats, qui sont a priori ouverts si on a les informations comme les grammaires et des dictionnaires utilisables. Grâce à ces outils, l'interopérabilité est assurée.

L'actualité de fin janvier pose la question suivante : quelle langue vivante utiliser (donc quel format non-électronique ouvert) ?

  • la semaine franco-allemande du 16 au 22 janvier milite pour l'allemand, avec aussi le 22 janvier la Journée franco-allemande, instituée depuis le sommet franco-allemand de janvier 2003 (quarantième anniversaire du traité de l'Elysée) ; et 2006 en Allemagne est l'année de l'informatique, donc les formats devraient être cités ;
  • le salon Expolangue du 18 au 21 janvier était l'occasion de mettre en avant les langues vivantes, avec l'Allemagne comme invitée d'honneur ; parmi ces langues, outre l'anglais et d'autres, on trouve le globish (pour global english), « un anglais limité à 1500 mots et à une syntaxe rudimentaire », comme le développe Jean-Paul Nerrière, auteur du livre Parlez-vous globish ?, dans une tribune de Metro du 20 janvier.

Bien sûr, on pourrait aussi citer d'autres langues : le français (et sa culture et la francophonie, notamment en 2006), l'esperanto (et sa communauté), le latin (et son passé, en plus d'être langue officielle du Vatican), le chinois (si attractif économiquement), l'espagnol (et les pays hispanophones)... Mais toutes ces langues ont un format ouvert (la dernière utilisatrice n'est pas décédée).

Sources et liens :