Danger : de la musique qui se joue sans protection...

Le 21 juin : c'est le solstice d'été avec la période de jour la plus longue de l'année ; à l'inverse, c'est aussi la veille du début du raccourcissement des journées, les nuits vont s'allonger jusqu'au solstice d'hiver. C'est en quelque sorte un point culminant, y compris pour la musique.

En effet, en ce jour, c'est la Fête de la musique : on en célèbre les 24 ans lors de cette 25e édition (et oui, il y a un décalage entre ces 2 manières de compter, le format âge ou celui du nombre d'éditions).

Et cette Fête de la musique est aussi le point culminant du danger : dans les rues, sur les places... interprétées par des artistes seuls ou en groupe, amateurs ou pas... on peut écouter de la musique sans aucune mesure technique de protection et dans un format totalement ouvert !

En effet, la musique peut alors se savourer sans avoir à se soucier du format utilisé : il est ouvert, c'est l'air, et cela va de l'instrument à l'oreille, voire au cœur. Et aucun dispositif ne peut interdire l'écoute des spectateurs : grand ou petit, homme ou femme, il n'y a pas de condition de matériel, de version, de logiciel ou de format.

Il semblerait bien que cela soit aussi le cas lors des concerts en général. Mais alors, la musique au format du direct, du vivant (le live) ne connaîtrait aucune restriction technique ? Le numérique est ici largement dépassé, ou trop laxiste. Mais que fait la technique ?

Sources et liens :